Un jour, je me suis assise sous une tôle accolé au muré de la maison
familiale et il pleuvait beaucoup - c'était boueux - ce pourquoi
j'avais posé mon cul sur un caillou - pour pas salir mon pantalon.
L'eau dégoulinait entre les ondulations de cette tôle - ça rigolait
beaucoup. J'étais toute seule - et ça rigolait.
Tôle après tôle de Bernadette Matin.
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