4 novembre 2012

Un jour, je me suis assise sous une tôle accolé au muré de la maison familiale et il pleuvait beaucoup -  c'était boueux - ce pourquoi j'avais posé mon cul  sur un caillou - pour pas salir mon pantalon. L'eau dégoulinait  entre les ondulations de cette tôle - ça rigolait beaucoup. J'étais toute seule - et ça rigolait.

Tôle après tôle de Bernadette Matin.

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